Jeudi et vendredi 21 novembre
Ça y est, on quitte Bobo et le Faso. L'heure du départ de notre minibus (17 h) approchant, on se dirige vers les locaux de notre compagnie de transport. Là, une personne nous explique que nôtre minibus ne partira pas d'ici et nous mène vers un autre point de départ. Cette nouvelle compagnie nous demandera 2 x 2000 cfa supplémentaire pour nos bagages alors que l'on a déjà payé 2 x 7000 cfa de billets + 2 x 2000 pour les vélos... bien évidemment, tout çà est non négociable !
Ah, ils sont au point les lascars quand il s'agit de commerce ! Bref, on assiste au très long (sur)chargement du vieux minibus tout rouillé et rafistolé... et le départ se fait finalement après 19 h.
La carlingue est plus qu'incomfortable avec ces banquettes bricolées en ferraille. Même sur le goudron, c'est un sacré tape-cul... la nuit promet d'être longue ! Passé la frontière, notre engin quitte le goudron pour une raison inconnue et s'engage sur une piste de latérite défoncée : c'est clair, la nuit sera longue et difficile !
A 10 h du matin on retrouve le goudron avec la gare routière de San. On y apprend que le détour par la piste était destiné à éviter les douanes postées aux entrées et sorties des villes car certaines cargaisons de notre toit étaient susceptibles d'être taxer ou confisquer... on est saura pas plus. On arrive à Sévaré vers 12 h après une formidable nuit blanche. De suite notre programme reprend : aller chercher le matos de grimpe à l'Harmattan Solidaire, y laisser nos achats de Bobo, prendre un café avec Yannick et discuter de la crise qui sévit. Puis direction la gare routière de Sévaré pour chercher un bus pour Hombori. La fatigue aidant, comme à Bobo, on se fait plus ou moins entuber sur les billets et comme à Bobo, le départ se fait à 18 H au lieu de 16 H... Une différence notable cependant : cette fois c'est un vrai bus !
300 km plus loin on débarque vers 23 h à Hombori. A moitié endormis, on charge les sacoches sur les vélos, on expédie les porteurs qui nous attendaient et on file se coucher fissa au campement Mangou Bagni, chez Koli Sissoko, seul catholique de Homori et seul vendeur de bière de la région !
Ça y est, on quitte Bobo et le Faso. L'heure du départ de notre minibus (17 h) approchant, on se dirige vers les locaux de notre compagnie de transport. Là, une personne nous explique que nôtre minibus ne partira pas d'ici et nous mène vers un autre point de départ. Cette nouvelle compagnie nous demandera 2 x 2000 cfa supplémentaire pour nos bagages alors que l'on a déjà payé 2 x 7000 cfa de billets + 2 x 2000 pour les vélos... bien évidemment, tout çà est non négociable !
Ah, ils sont au point les lascars quand il s'agit de commerce ! Bref, on assiste au très long (sur)chargement du vieux minibus tout rouillé et rafistolé... et le départ se fait finalement après 19 h.
La carlingue est plus qu'incomfortable avec ces banquettes bricolées en ferraille. Même sur le goudron, c'est un sacré tape-cul... la nuit promet d'être longue ! Passé la frontière, notre engin quitte le goudron pour une raison inconnue et s'engage sur une piste de latérite défoncée : c'est clair, la nuit sera longue et difficile !
A 10 h du matin on retrouve le goudron avec la gare routière de San. On y apprend que le détour par la piste était destiné à éviter les douanes postées aux entrées et sorties des villes car certaines cargaisons de notre toit étaient susceptibles d'être taxer ou confisquer... on est saura pas plus. On arrive à Sévaré vers 12 h après une formidable nuit blanche. De suite notre programme reprend : aller chercher le matos de grimpe à l'Harmattan Solidaire, y laisser nos achats de Bobo, prendre un café avec Yannick et discuter de la crise qui sévit. Puis direction la gare routière de Sévaré pour chercher un bus pour Hombori. La fatigue aidant, comme à Bobo, on se fait plus ou moins entuber sur les billets et comme à Bobo, le départ se fait à 18 H au lieu de 16 H... Une différence notable cependant : cette fois c'est un vrai bus !
300 km plus loin on débarque vers 23 h à Hombori. A moitié endormis, on charge les sacoches sur les vélos, on expédie les porteurs qui nous attendaient et on file se coucher fissa au campement Mangou Bagni, chez Koli Sissoko, seul catholique de Homori et seul vendeur de bière de la région !