Samedi 15 novembre
Depuis Sindou, une 50aine de km nous permettent d'atteindre le Lac de Tengrela qui occupe plusieurs 100aines d'hectares avec sa forêt humide. Il est réputé pour ses hippopotames qui se feront discrets en nôtre présence : en cette période de hautes eaux (la saison des pluies s'est achevées en septembre), ils restent à l'abris dans forêt humide. Les rives du lac sont propices aux balades au milieu de jardins, potagers et vergers. Nous campons sous un bosquet de manguiers dont la fructification est malheureusement largement passée.
Dimanche 16 novembre
En nous rendant aux chutes de Karfiguéla, nous passons à Banfora dont c'est le jour de marché. Nous faisons donc nôs emplettes dans une terrible effervescence qui nous découragera à rechercher le quartier des artisans-musiciens dont on nous avait parlé la veille.
Karfiguéla est le 3ième site après Sindou et Tengrela où on se fait taxer en bon touriste par des péages, campements et circuits guidés pseudo-obligatoires. Même si ça ne coûte jamais cher, ce fonctionnement commence sérieusement à nous exaspérer... Heureusement, Lassina, le gardien du parking payant (voiture ou vélo même combat) nous accueille très sympathiquement pour préparer notre salade avec les légumes du marché de Banfora. On la partage avec lui et il nous fait goûter le Tô de maïs à la sauce arachide. Contrairement au Tô de mil, celui-ci est une sorte de gâteau de semoule fait uniquement de maïs. On fini le repas avec une papaye du jardin de Karfiguéla.
Pour se rendre aux chute depuis le jardin, on emprunte une allée de manguiers centenaires parsemée de quelques Kapokier. Ce sont des arbres géant ressemblant aux baobab mais avec un tronc ramifié à la base.
On quitte le site le soir même pour se rapprocher un peu pour le lendemain sur la route de Bobo-Dioulasso. La piste qui nous permettra de rejoindre le goudron traverse une plaine cultivée pour la canne à sucre avec irriguation s'il vous plaît. La piste elle-même est 'cimentée' avec un espèce de sirop durci à l'odeur de cassonade issu de la fabrication... une route sucrée en quelque sorte !
Depuis Sindou, une 50aine de km nous permettent d'atteindre le Lac de Tengrela qui occupe plusieurs 100aines d'hectares avec sa forêt humide. Il est réputé pour ses hippopotames qui se feront discrets en nôtre présence : en cette période de hautes eaux (la saison des pluies s'est achevées en septembre), ils restent à l'abris dans forêt humide. Les rives du lac sont propices aux balades au milieu de jardins, potagers et vergers. Nous campons sous un bosquet de manguiers dont la fructification est malheureusement largement passée.
Dimanche 16 novembre
En nous rendant aux chutes de Karfiguéla, nous passons à Banfora dont c'est le jour de marché. Nous faisons donc nôs emplettes dans une terrible effervescence qui nous découragera à rechercher le quartier des artisans-musiciens dont on nous avait parlé la veille.
Karfiguéla est le 3ième site après Sindou et Tengrela où on se fait taxer en bon touriste par des péages, campements et circuits guidés pseudo-obligatoires. Même si ça ne coûte jamais cher, ce fonctionnement commence sérieusement à nous exaspérer... Heureusement, Lassina, le gardien du parking payant (voiture ou vélo même combat) nous accueille très sympathiquement pour préparer notre salade avec les légumes du marché de Banfora. On la partage avec lui et il nous fait goûter le Tô de maïs à la sauce arachide. Contrairement au Tô de mil, celui-ci est une sorte de gâteau de semoule fait uniquement de maïs. On fini le repas avec une papaye du jardin de Karfiguéla.
Pour se rendre aux chute depuis le jardin, on emprunte une allée de manguiers centenaires parsemée de quelques Kapokier. Ce sont des arbres géant ressemblant aux baobab mais avec un tronc ramifié à la base.
On quitte le site le soir même pour se rapprocher un peu pour le lendemain sur la route de Bobo-Dioulasso. La piste qui nous permettra de rejoindre le goudron traverse une plaine cultivée pour la canne à sucre avec irriguation s'il vous plaît. La piste elle-même est 'cimentée' avec un espèce de sirop durci à l'odeur de cassonade issu de la fabrication... une route sucrée en quelque sorte !